La vie sexuelle de Stéphane B.
De notre correspondant Arnaud Curt
Après les rockstars, c’est au tour
des deejays de relater leurs frasques
coquine. Stéphane B., un des membre du
groupe Superfunk se remémore entre
deux nouveaux projets ses tournées
dans le monde entier où il était
idolâtré par des centaines de
groupies. Sex,
Drugs et house…
Remember le tube « lucky star »,
une ritournelle électronique
écoulée à plus d’un million
d’exemplaires dans le monde dont 500
000 en France. Derrière ce tube
planétaire se cachait le groupe
Superfunk composé de trois marseillais
Stéphane B., Fafa Monteco et Mike
303. Stephane B. tourne
actuellement en solo ou avec le groupe
superfunk inc, en attendant la sortie
de leur prochain single « Evers B. ».
Le DJ place beaucoup d’espoir dans ce
nouveau projet en espérant revivre la
gloire connue il y a trois ans. Epoque
où il jouait tous les soirs dans des
clubs différents avec quasiment une
femme par discothèque, mais ses
souvenirs les plus marquants restent
dans les pays de l’est. « Notamment
en Biélorussie où les groupies sont
toutes plus belles les unes que les
autres. Elles me regardaient comme une
bête à conquérir et défilaient dans la
cabine en me proposant des trucs
coquins. Finalement, je me suis senti
obligé de repartir avec deux d’entre
elles pour ne pas faire de jalouses ;
les charmes slaves m’ont fait passer
l’une des plus belles nuit de ma vie »
se rappelle le musicien encore tout
émoustillé.
Cependant, il connut d’autre aventures
nettement plus mouvementées :
« Après avoir mixé à la soirée « fashion
TV » au Most club de Moscou, je suis
reparti avec une mannequin en devenir,
on passa une nuit crapuleuse. Mais le
réveil fut assez spectaculaire
puisqu’une armée de mecs bizarre nous
tournait autour dans l’hôtel, j’ai cru
vivre mes dernières heures et me
croyait dans une mauvaise série B.
américaine. On m’a expliqué après coup
que la fille devait avoir des liens
avec la mafia. »
Contrairement à ce que pensent
certaines mauvaises langues, le monde
de la nuit est loin d’être impitoyable
car il existe une solidarité entre
deejays. En effet, lorsque Superfunk
mixait à la soirée des Guetta
au Pacha à Ibiza, toutes les filles se
trouvaient en admiration devant la
cabine. Comme David G. n’était
pas intéressé (raison officielle : la
bague au doigt, nous tairons la raison
officieuse), ils a laissé le champs
libre et les trois acolytes ne se sont
visiblement pas ennuyés. Prochaine
étape entre deux passages au Fish et à
l’Ice club, la winter conférence de
Miami où se réunissent tout les plus
grand de la musique électronique et une
tournée au Brésil. A ce sujet,
Stéphane ajoute « le Brésil c’est
dangereux car c’est comme dans Forrest
Gump, on ne sait jamais sur quoi on va
tomber sous le string ! »
Avec ce type d’attitude, les rois de
l’ électro ont définitivement enterré
les rockeurs !
A
suivre, Les "Chiffons de
Diamant " tissent leur image...
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